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Nouvelles révélations sur les OGM

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19092012

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Mister Cyril
Mister Cyril

Nombre de messages : 2391
Date d'inscription : 15/08/2008
Localisation : Région parisienne

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Nouvelles révélations sur les OGM :: Commentaires

Mister Cyril

Message Mer 19 Sep 2012 - 12:12 par Mister Cyril

Bein moi il marche le lien???

Bon je t'avouerai que les débats ados/vieillots sur les positions préférées me laissent un peu de marbre...mais le ton de la réponse est drôle à souhait...vive la lutte des classes jusque sous la couette! (bon c'est vrai que des rats à 3 têtes il y a plus bandant...).

Bizz mon canard:

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Donald11

Message Mer 19 Sep 2012 - 11:52 par Donald11

Ah ! ben ca marche maintenant :
Ici ...

Mais quand même, la levrette, c'est plus bandant !

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Donald11

Message Mer 19 Sep 2012 - 11:44 par Donald11

Avouez que c'est plus bandant que les OGM !!!

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Donald11

Message Mer 19 Sep 2012 - 11:44 par Donald11

Le lien ne fonctionne pas ...
Du coup je me suis balade sur le site du nouvel obs et j'y ai trouve ceci :

Avatar de Gaëlle-Marie Zimmermann
Par Gaëlle-Marie Zimmermann
Chroniqueuse sexo/société

Intrigant article de "L'Express", où deux experts, commentant une étude, établissent une sociologie du kama-sutra, et où l'on apprend (entre autres) que l'Andromaque est plutôt CSP+, quand la levrette est l'apanage du prolo. Réalité ou raccourcis fumeux ? Gaëlle-Marie Zimmermann a deux mots à dire aux experts interrogés.

Cher Philippe Brenot, chère Elisa Brune,

Je vous écris aujourd’hui parce que je suis très embêtée. En effet, mes amies et moi-même nous trouvons plongées dans le désarroi et la perplexité depuis que nous avons lu votre analyse d’un sondage concernant les pratiques sexuelles des Français sur le site de "L’Express".

Je pourrais prétendre, pour soigner mon entrée en matière, que j’ai le plus grand respect pour les experts en foufounes et quéquettes que vous êtes (ou prétendez être, c’est selon) ; mais ce serait mentir, alors dispensons-nous des politesses d’usage.

Pardon, à vous écouter, je ne devrais pas aimer la levrette

Monsieur Brenot, Madame Brune, le problème est simple : si mes amies et moi-même suivons votre raisonnement, nous allons être dans l’obligation d’abandonner la pratique de la levrette. Drame qui, vous en conviendrez, serait fortement pénalisant pour l’harmonie et l’épanouissement de notre vie sexuelle (oh, ai-je précisé que nous adorons la levrette ? Eh bien voilà, c’est chose faite : nous adorons la levrette).

Mais voilà : vous, Grands Maîtres de la Foufe Soumise, avez parlé sur l’Internet, et au vu de vos, euh, qualifications (hihihihihi. Pardon. Je pouffe, c’est nerveux), je ne peux m’empêcher de penser que la femme moderne, qui lit "Cosmo", "Biba", "Glamour"... et "L’Express" (le cumul des quatre l’informant moins que la notice d’utilisation d’une scie circulaire), risque de croire toutes les âneries que vous assénez avec la tranquille conviction de ceux qui détiennent la Vérité Universelle.

C’est pourquoi je vous taquine en vous disant que mes amies et moi sommes, si nous en croyons votre analyse, de très mauvaises pratiquantes de la levrette, position qui apparemment ne colle absolument pas à notre profil psychologique, pas plus qu’à notre parcours socio-professionnel.

Le kama-sutra serait donc lié au niveau de salaire

En effet, lorsque pour "L’Express" vous commentez les résultats du sondage concernant la levrette, prétendument position préférée des Français, vous, Elisa Brune, vous êtes "un petit peu perplexe" car, dites-vous, "La levrette est une position particulière, car elle accentue l'aspect symbolique de soumission de la femme. Elle est généralement appréciée par les hommes qui aiment dominer leur partenaire et par les femmes qui préfèrent être soumises."

Chère Elisa Brune, vous me pardonnerez j’espère une vivacité que nous mettrons sur le compte de mon manque d’éducation mais, nom d’une demi-molle, de quel droit vous permettez-vous de rationaliser à l’emporte-pièce le comportement sexuel des gens en l’étiquetant de la sorte ? Vous êtes journaliste scientifique ? D’accord. Vous devez donc être compétente pour tout un tas de choses relevant, ma foi, du journalisme et de la science, enfin je l’espère. Mais les énormités que vous proférez, à l’instar de la plupart des sexologues médiatiques, thérapeutes et autres jean-foutres qui nous enfournent à longueur d’année leurs recettes pour jouir et leurs analyses à la mords-moi le nœud, sont tout à fait consternantes.

Dans le cas de la levrette, par exemple, sachez que la généralisation hâtive, même lorsqu’elle est sous-tendue par de prétendues recherches consciencieuses, des travaux au long cours et la bonne foi qui anime tous ceux qui ont la prétention d’éclairer le monde de leur savoir, ne vaut pas un clou. Qu’il existe des femmes soumises, c’est une chose. Que certaines femmes aiment la levrette, c'est une autre chose. Mais vous me permettrez de douter fortement d’un lien de causalité entre les deux.

Quant à vous, Philippe Brenot, vous reliez carrément la position d’Andromaque au niveau de salaire des femmes. On nage en plein délire, là. Nous, les femmes, avons déjà eu du mal à nous extraire des conditionnements sociaux et sexuels qui nous ont privées du droit au plaisir pendant des siècles, et quand enfin nous approchons du but, commençant à savourer l’idée de choisir dans quelles positions nous allons nous envoyer en l’air en fonction de notre sensibilité physique, érotique, émotionnelle, voilà qu’un vendeur de formatage sexuel sponsorisé par les médias vient nous expliquer qu’on baise en étant AU-DESSUS parce qu’on gagne suffisamment de pognon. Au secours.

Les pauvres baiseraient-ils comme des goujats ?

Vous soulignez aussi, Elisa Brune, que "le niveau socioculturel est toujours lié à une plus grande sophistication des comportements sexuels et érotiques, ou inversement à une plus grande variété".

Laissez-moi rire. Cette affirmation, très péremptoire, laisse à penser que vous n’avez jamais baisé avec un mec qui, du haut de son CAP de chaudronnerie ou en quittant son service de nuit au sortir de l’atelier, d’une part emmerde votre élitisme de la chatte, et d’autre part, vous sert avec une délicatesse sans pareille et tout au long de la nuit des raffinements érotiques que vous n’auriez osé espérer que dans vos rêves les plus fous.

Alors quand vous affirmez que "celles qui ont moins de liberté culturelle ou économique auront effectivement moins facilement accès à cette position", je trouve pour ma part que vous signez votre propos d’un snobisme intolérable : l’absence de ce que vous appelez très justement une liberté culturelle et économique n’a jamais empêché mes copines fauchées et qui n’ont pas lu Balzac (que je n’ai pas lu non plus, je préfère regarder Grey’s Anatomy) de se mettre au-dessus pour baiser, le frottement du bassin de leur partenaire stimulant très agréablement leur clitoris. Déduction que l’on est en mesure de faire même sans le bac, sachez-le.

Voulez-vous vraiment "gommer les idées reçues", ou les renforcer ?

Passons ensuite rapidement sur les inévitables clichés de la psychologie de genre par lesquels, en beau tandem conventionnel que vous formez, vous enfermez hommes et femmes dans des comportements caricaturaux. Je cite : "Lors d'un premier rendez-vous, les hommes s'attachent essentiellement au physique et à la tenue, tandis que les femmes privilégient l'odeur corporelle et le parfum", ou "Les hommes sont connus pour être plus sensibles que les femmes aux signaux visuels, Cela se remarque dans leur appétit pour les images pornographiques".

Honte à celles qui se masturbent devant un porno, et honte à celles qui, spontanément, vont scruter leur rancard de la tête aux pieds pour évaluer le produit. Mais surtout, honte à vous.

Je terminerai en adressant un clin d’œil ironique à Philippe Brenot, qui affirme que son "travail de scientifique est de gommer ces idées reçues". Cher Philippe Brenot, je tiens à vous dire que si un jour les idées reçues sont gommées, ce ne sera pas grâce à cet entretien avec "L’Express".

Bon, je vous laisse, faut que j’aille faire croire à mon mari que je n’ai plus un rond et que je suis une femme soumise. Parce que je me taperais bien une petite levrette, là.

La levrette ...

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