Qui a dit que la politique n’était pas drôle ?
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04032009
Qui a dit que la politique n’était pas drôle ?
http://www.liberation.fr/politiques/0101466509-qui-a-dit-que-la-politique-n-etait-pas-drole
Le jury du prix «Press club, humour et politique», qui récompense chaque année la formule la plus drôle de l’année (volontaire ou pas) a opéré une deuxième sélection de petites phrases. Cette nouvelle sélection sera complétée par une ultime en juin, pour la proclamation du prix le même mois.
Voici les nouveaux sélectionnés:
- Jean-François Copé, président du Groupe UMP de l’Assemblée Nationale: «Moi vivant, il n’y aura pas d’augmentation de la redevance».
- Ségolène Royal, de retour des Etats-Unis: «J’ai inspiré Obama et ses équipes m’ont copiée». Elle s'était d'ailleurs justifiée en disant avoir «répondu de façon humoristique».
- Roselyne Bachelot, ministre des Sports, après la victoire des handballeurs français aux Championnats du Monde: «Dans les vestiaires, nous n’avions qu’un mot: énorme!».
- Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement: «Le chef de l’Etat appelle parfois Brice Hortefeux pour ne rien lui dire. C’est la preuve de la qualité de leurs relations».
- Nadine Morano, Secrétaire d’Etat chargée de la famille: «Je suis sarkozyste jusqu’au bout des globules».
La première sélection avait distingué:
- Christine Albanel, ministre de la Culture : «Mes cheveux raccourcissent au fur et à mesure que mon expérience croît».
- Jean-François Copé déjà, disant au président Nicolas Sarkozy: «Tu as prévu de filer les clés de l’UMP à Xavier Bertrand; tu devrais en garder un double».
- Bertrand Delanoë, maire de Paris : «Le vrai changement au PS, ce serait de gagner».
- Jean-Pierre Raffarin, sénateur, ancien Premier ministre UMP : «Le tour de taille n’est pas un handicap au Sénat».
- Michel Rocard, ancien premier ministre PS: «Le PS est mal portant; et comme je respecte les hôpitaux, je baisse la voix comme on doit le faire quand il y a un malade dans la place».
Le jury d’une vingtaine de personnes est composé de journalistes et d’humoristes. En juin 2008, le prix avait couronné Jean-Louis Borloo pour sa phrase: «Sarkozy, c’est le seul qui a été obligé de passer par l’Elysée pour devenir premier ministre».
(Source AFP)
Le jury du prix «Press club, humour et politique», qui récompense chaque année la formule la plus drôle de l’année (volontaire ou pas) a opéré une deuxième sélection de petites phrases. Cette nouvelle sélection sera complétée par une ultime en juin, pour la proclamation du prix le même mois.
Voici les nouveaux sélectionnés:
- Jean-François Copé, président du Groupe UMP de l’Assemblée Nationale: «Moi vivant, il n’y aura pas d’augmentation de la redevance».
- Ségolène Royal, de retour des Etats-Unis: «J’ai inspiré Obama et ses équipes m’ont copiée». Elle s'était d'ailleurs justifiée en disant avoir «répondu de façon humoristique».
- Roselyne Bachelot, ministre des Sports, après la victoire des handballeurs français aux Championnats du Monde: «Dans les vestiaires, nous n’avions qu’un mot: énorme!».
- Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement: «Le chef de l’Etat appelle parfois Brice Hortefeux pour ne rien lui dire. C’est la preuve de la qualité de leurs relations».
- Nadine Morano, Secrétaire d’Etat chargée de la famille: «Je suis sarkozyste jusqu’au bout des globules».
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- Jean-François Copé déjà, disant au président Nicolas Sarkozy: «Tu as prévu de filer les clés de l’UMP à Xavier Bertrand; tu devrais en garder un double».
- Bertrand Delanoë, maire de Paris : «Le vrai changement au PS, ce serait de gagner».
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(Source AFP)
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