refuser ou périr.....

Très juste Syl, le rapport qui relie notre temps à notre dimension n'est comparable, vis à vis de l'infiniment grand ou petit, qu'à une question de concept.

Nous possédons les sens (physiques) qui nous permettent d'appréhender notre "univers" mais il nous est très compliqué de dépasser notre concept "progénétique" sans faire appel à notre "imagination", ou plus précisément à notre "pensée".

Les similitudes qui existent entre l'infiniment petit et l'infiniment grand sont troublantes. Deux exemples :

- Un système solaire ressemble étrangement à l'atome dans son fonctionnement.

- Une molécule ressemble étrangement à une galaxie par son agglomérat.

Le seul "hic", d'après les "illustres" scientifiques, est que les forces qui gèrent ces deux "mondes" sont différentes... Qu'il en soit ainsi jusqu'au moment où un "génie" découvrira que ces "forces" ne sont basées que par nos sens physiques et donc primitifs, même avec l'aide des mathématiques qui ne sont fiables que pour tracer un cercle ou même un rectangle.

Nous "refusons" d'admettre que le physique (la matière) n'est qu'un support de la pensée (l'âme)... Nous perdons du temps inutilement.

Hello Jean, merci de ta réponse !

nous vivons sur un grain de sable perdu au beau milieu d'une plage

Et si l'on devait ramener la vie de ce grain de sable depuis sa création -oups pardon aux athées du site, disons depuis son apparition- jusqu'à aujourd'hui à une année, on verrait que l'ancêtre de l'homme, l'australopithèque est apparu le 31 décembre à 22h15 et notre frère, l'homo sapiens sapiens, le même jour à 23h58'36''.

une seconde de vie sur un grain de sable...vertigineux non ? de petitesse, d'insignifiance...

Bonsoir Syl, il est vrai qu'il m'arrive de douter mais jamais en ce qui me concerne et toujours sur le sort bancal de l'humanité dont je fais bien sur parti.

Je m'explique, comme je le disais dans un autre post, nous vivons sur un grain de sable perdu au beau milieu d'une plage, même si ce grain de sable venait à disparaître, la plage existerait toujours. Ceci dit, il aura fallut pratiquement cinq milliard d'années pour arriver à ce que nous sommes actuellement, cela implique forcément tous les boulversements par lesquels notre "genre" sera passé.

Je ne crois pas au hasard et la théorie de Darwin me semble incomplète tout comme celle d' Einstein. En gros, l'évolution de la matière est toute relative et indissociable de celle de la pensée, la pensée étant par essence éternelle doit modeler la matière pour en contrôler son évolution. Cependant, la "pensée" naît de la matière et doit suivre approximativement la même évolution.

Imaginons que l'humanité déraille et qu'elle mette fin à ce "grain de sable" (ce n'est pas un secret, elle en a la possibilité), ce ne serait pas catastrophique et ne dénaturerait pas la plage mais ce serait tout de même un beau gâchis à notre niveau, nous serions obligés de nous expatrier (l'âme ou la pensée) vers une autre planète succeptible de nous recevoir selon notre degré d'avancement, nous serions perçus, alors un peu, comme un cheveux dans la soupe et capables de foutre le même bordel chez les autres !

Il est donc important de faire rendre raison à nos semblables afin de ne pas squatter chez les autres, c'est la moindre des priorités, nous avons notre maison et il suffit de l'entretenir pour qu'elle dure aussi longtemps que nous le voudrons et bien entendu... Dans une ambiance familiale et non autoritaire, ce sont les maisons les plus chaleureuses !

salut Jean !

Il est obligatoire que dans ce processus allant crescendo, l'inévitable arrivera tôt ou tard.

Aahhh !!! je préfère ce commentaire à celui que tu as post hier ("il faut donc en conclure que le mot "humanité" ne veut rien dire et que "seul" l'intérêt personnel a de l'importance. Ce n'est pas un problème en soi ") où je ne reconnaissais plus mon Jeannot le juste, le rebelle, celui qui signe "mieux vaut mourir dans la résistance que dans l'obéissance" Quoi !! il nous faisait une grosse crise de doute ???
Ravie de te retrouver !!!

Très réaliste mais le système est fait et prévu pour qu'un minimum en prenne conscience... Il est obligatoire que dans ce processus allant crescendo, l'inévitable arrivera tôt ou tard.