Internet - la meilleure et la pire des choses
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02032011
Internet - la meilleure et la pire des choses
Chez Nespresso, un avis négatif sur Twitter peut vous faire virer
Par Normand Boulanger 01/03/2011 | 18H44
http://eco.rue89.com/2011/03/01/chez-nespresso-un-avis-negatif-sur-twitter-peut-vous-faire-virer-192979
Mardi 22 février, j'ai vécu une drôle d'expérience. Je croyais cette expérience plutôt sans conséquence jusqu'à ce que l'on me dise que l'un de mes tweets – post sur le site de micro-blogging Twitter – a peut-être coûté son emploi à quelqu'un.
Mardi, vers 14h40, je me dirige vers la boutique Nespresso de la rue Crescent [à Montréal], un endroit où j'adore aller. On m'accueille, on me sert un verre d'eau et on m'apporte le menu. Je commande un cappuccino et deux macarons cinq minutes plus tard.
A 14h50, je fais un check-in Foursquare – application mobile de géolocalisation. (Voir la capture d'écran)
Capture d'écran de Foursquare (blog 2 têtes à l'affiche).
Arrivent ensuite d'autres personnes – un groupe de trois, un de deux et un de quatre – que l'on place à trois tables, à côté de la mienne.
Il y a cinq serveurs au total. Je patiente pour mon café en faisant mes trucs, et je vois que les autres tables reçoivent leurs commandes (des Club sandwichs et des cafés) alors que moi, qui a commandé avant eux, je n'ai toujours rien reçu.
@Nespresso_US … « Kind of pissed »
Je me dis que c'est une erreur et que ma commande doit être la prochaine, mais non ; les deux autres tables arrivées bien après moi reçoivent aussi leurs commandes.
Avatar de Normand Boulanger sur Twitter.Bon, j'essaie d'interpeler une personne mais on ne me répond pas. J'écris donc ce tweet adressé au compte Twitter canadien/américain de Nespresso à 15h26 :
« Trente minutes d'attente et des gens arrivés après sont servis avant moi à votre boutique de Montréal, plutôt furieux. »
Capture d'écran du tweet de Normand Boulanger (@normboulanger).
Je dois avouer que je suis patient et n'étais pas très pressé. Mais quand même, il y a des limites.
« Oups, désolé, on va vous offrir le café… »
Je regarde mon Twitter, et le compte ne me répond pas. Je me lève un peu tanné [lassé] d'attendre et je vais voir la personne au comptoir. Je lui demande : « Est-ce normal que j'attende trente minutes sans avoir reçu mon café ? »
Elle me demande qui a pris ma commande et je lui réponds que je ne me rappelle plus – ça fait près de trente minutes tout de même. Elle me demande de lui rappeler ma commande – non, mais c'est insultant, on est même pas vingt clients dans le café ! Celui qui avait pris ma commande se réveille et dit :
« Oups, désolé, on va vous offrir le café gratuit… »
On m'apporte le cappuccino et les deux macarons et on me dit : « Ça va être gratuit, on est désolés, ce n'est pas dans nos habitudes. » Je me suis dis à moi-même : « Je veux bien le croire, mais vous êtes cinq employés sur le plancher et personne ne s'est rendu compte que je n'ai rien à ma table sauf un verre d'eau ? »
Mon serveur : « Je risque de perdre mon travail »
Celui que je suppose être le gérant du magasin descend environ vingt minutes plus tard et me demande ce qui s'est passé. Je lui raconte donc mon histoire.
Ensuite, le serveur vient me voir et me dit : « Vous avez tweeté que vous avez été mal servi. » Je répond : « Oui. » Il dit que « Nespresso en Suisse a appelé et qu'[il] risque de perdre mon travail car ils sont très stricts sur le service ».
Je me sens un peu coupable sur le coup car je ne voulais pas que ce genre d'événement arrive ; je voulais juste leur signaler.
Etre irréprochable avec chaque client
La réflexion que je me suis faite après cet événement, c'est que les réseaux sociaux sont parfois plus forts qu'on peut le croire ; même un petit commentaire anodin sur un service, dans un milieu pas vraiment actif sur les médias sociaux, peut avoir une influence sur votre vie.
La meilleure approche, c'est de proposer un service toujours à la perfection pour le moindre client, sinon ce genre de situation pourrait bien vous arriver.
En passant, j'ai dit au serveur que je souhaitais de tout mon cœur qu'il ne perde pas son travail à cause de cette histoire.
Par Normand Boulanger 01/03/2011 | 18H44
http://eco.rue89.com/2011/03/01/chez-nespresso-un-avis-negatif-sur-twitter-peut-vous-faire-virer-192979
Mardi 22 février, j'ai vécu une drôle d'expérience. Je croyais cette expérience plutôt sans conséquence jusqu'à ce que l'on me dise que l'un de mes tweets – post sur le site de micro-blogging Twitter – a peut-être coûté son emploi à quelqu'un.
Mardi, vers 14h40, je me dirige vers la boutique Nespresso de la rue Crescent [à Montréal], un endroit où j'adore aller. On m'accueille, on me sert un verre d'eau et on m'apporte le menu. Je commande un cappuccino et deux macarons cinq minutes plus tard.
A 14h50, je fais un check-in Foursquare – application mobile de géolocalisation. (Voir la capture d'écran)
Capture d'écran de Foursquare (blog 2 têtes à l'affiche).
Arrivent ensuite d'autres personnes – un groupe de trois, un de deux et un de quatre – que l'on place à trois tables, à côté de la mienne.
Il y a cinq serveurs au total. Je patiente pour mon café en faisant mes trucs, et je vois que les autres tables reçoivent leurs commandes (des Club sandwichs et des cafés) alors que moi, qui a commandé avant eux, je n'ai toujours rien reçu.
@Nespresso_US … « Kind of pissed »
Je me dis que c'est une erreur et que ma commande doit être la prochaine, mais non ; les deux autres tables arrivées bien après moi reçoivent aussi leurs commandes.
Avatar de Normand Boulanger sur Twitter.Bon, j'essaie d'interpeler une personne mais on ne me répond pas. J'écris donc ce tweet adressé au compte Twitter canadien/américain de Nespresso à 15h26 :
« Trente minutes d'attente et des gens arrivés après sont servis avant moi à votre boutique de Montréal, plutôt furieux. »
Capture d'écran du tweet de Normand Boulanger (@normboulanger).
Je dois avouer que je suis patient et n'étais pas très pressé. Mais quand même, il y a des limites.
« Oups, désolé, on va vous offrir le café… »
Je regarde mon Twitter, et le compte ne me répond pas. Je me lève un peu tanné [lassé] d'attendre et je vais voir la personne au comptoir. Je lui demande : « Est-ce normal que j'attende trente minutes sans avoir reçu mon café ? »
Elle me demande qui a pris ma commande et je lui réponds que je ne me rappelle plus – ça fait près de trente minutes tout de même. Elle me demande de lui rappeler ma commande – non, mais c'est insultant, on est même pas vingt clients dans le café ! Celui qui avait pris ma commande se réveille et dit :
« Oups, désolé, on va vous offrir le café gratuit… »
On m'apporte le cappuccino et les deux macarons et on me dit : « Ça va être gratuit, on est désolés, ce n'est pas dans nos habitudes. » Je me suis dis à moi-même : « Je veux bien le croire, mais vous êtes cinq employés sur le plancher et personne ne s'est rendu compte que je n'ai rien à ma table sauf un verre d'eau ? »
Mon serveur : « Je risque de perdre mon travail »
Celui que je suppose être le gérant du magasin descend environ vingt minutes plus tard et me demande ce qui s'est passé. Je lui raconte donc mon histoire.
Ensuite, le serveur vient me voir et me dit : « Vous avez tweeté que vous avez été mal servi. » Je répond : « Oui. » Il dit que « Nespresso en Suisse a appelé et qu'[il] risque de perdre mon travail car ils sont très stricts sur le service ».
Je me sens un peu coupable sur le coup car je ne voulais pas que ce genre d'événement arrive ; je voulais juste leur signaler.
Etre irréprochable avec chaque client
La réflexion que je me suis faite après cet événement, c'est que les réseaux sociaux sont parfois plus forts qu'on peut le croire ; même un petit commentaire anodin sur un service, dans un milieu pas vraiment actif sur les médias sociaux, peut avoir une influence sur votre vie.
La meilleure approche, c'est de proposer un service toujours à la perfection pour le moindre client, sinon ce genre de situation pourrait bien vous arriver.
En passant, j'ai dit au serveur que je souhaitais de tout mon cœur qu'il ne perde pas son travail à cause de cette histoire.
country skinner- Admin
- Nombre de messages : 2423
Date d'inscription : 17/07/2008
Internet - la meilleure et la pire des choses :: Commentaires
Re: Internet - la meilleure et la pire des choses
brusyl a écrit:@ Foulques, donald François
Pas facile d'entrer dans ce débat...
J'ai relu vos échanges Foulques et ducky... à savoir, quelques détails techniques au sujet de Free ou du Wi-Fi
Ceci est dit, soyez en sûr sans la moindre part de reproche ou d'agressivité, mais dans le seul souci que ce forum reste un lieu accueillant pour tous.
Bise
En remontant dans l'historique, je peux prouver les attaques malveillantes du maudit canard, du genre "tu as raté le concours d'entrée", ce que j'ai démenti. Si ce pauvre c... est capable de me remplacer sur l'aspect technique, il va de soi qu'il est inutile que je vous commente "Commations", vous devrez accepter ses couleuvres. Non, je ne veux plus avoir à faire avec cet aNNe, et puisqu'il a la préséance, tu devras l'assumer.
Bye
Foulques
Je dis MERDE!
@ Foulques, donald François
Pas facile d'entrer dans ce débat...
J'ai relu vos échanges Foulques et ducky... il y a une nette différence entre une pointe d'agressivité qui peut poindre au cours d'un échange, personne n'y échappe mais un peu de repos et tout revient dans l'ordre et de véritables injures qui empêchent toute poursuite de dialogue et effectivement empoisonnent le lieu
En toute objectivité, Foulques, dans cette histoire, c'est toi l'injurieur : ducky n'a rien d'un mongolien ni d'un débile mental ni d'un pauvre type comme tu as pu l'écrire. Il est dans ce forum depuis le début, comme membre fondateur et il a apporté beaucoup et à tous. Il a répondu en attaquant tes propos mais pas ta personne...
Je ne demande pas que vous cessiez vos échanges : cette pseudo ignorance de l'un envers l'autre ne ferait que grangréner les échanges de tous ici. Ce ne serait plus le lieu de communication ouvert et tolérant que nous souhaitions qu'il soit.
Au contraire, videz votre sac une bonne foi pour toute, videz l'abcès que l'on puisse reprendre une saine communication. Tain ! regardez un peu ce qui vous réunit, cette détestation de notre régime, cette compassion pour ceux qui souffrent, la recherche d'un monde moins injuste au lieu de vous accrocher à ce qui vous désunit : à savoir, quelques détails techniques au sujet de Free ou du Wi-Fi
Ceci est dit, soyez en sûr sans la moindre part de reproche ou d'agressivité, mais dans le seul souci que ce forum reste un lieu accueillant pour tous.
Bise
Pas facile d'entrer dans ce débat...
J'ai relu vos échanges Foulques et ducky... il y a une nette différence entre une pointe d'agressivité qui peut poindre au cours d'un échange, personne n'y échappe mais un peu de repos et tout revient dans l'ordre et de véritables injures qui empêchent toute poursuite de dialogue et effectivement empoisonnent le lieu
En toute objectivité, Foulques, dans cette histoire, c'est toi l'injurieur : ducky n'a rien d'un mongolien ni d'un débile mental ni d'un pauvre type comme tu as pu l'écrire. Il est dans ce forum depuis le début, comme membre fondateur et il a apporté beaucoup et à tous. Il a répondu en attaquant tes propos mais pas ta personne...
Je ne demande pas que vous cessiez vos échanges : cette pseudo ignorance de l'un envers l'autre ne ferait que grangréner les échanges de tous ici. Ce ne serait plus le lieu de communication ouvert et tolérant que nous souhaitions qu'il soit.
Au contraire, videz votre sac une bonne foi pour toute, videz l'abcès que l'on puisse reprendre une saine communication. Tain ! regardez un peu ce qui vous réunit, cette détestation de notre régime, cette compassion pour ceux qui souffrent, la recherche d'un monde moins injuste au lieu de vous accrocher à ce qui vous désunit : à savoir, quelques détails techniques au sujet de Free ou du Wi-Fi
Ceci est dit, soyez en sûr sans la moindre part de reproche ou d'agressivité, mais dans le seul souci que ce forum reste un lieu accueillant pour tous.
Bise
Dans le fil précédent où je critiquais le comportement de France Telecom, cet imbécile répondait hors propos avec ses préjugés. J'ai fait preuve de patience en abandonnant le sujet mais en renonçant aux nouveaux articles concernant la future réglementation des Telecoms où la neutralité de l'ARCEP y est remise en question. Le rôle futur de Free est central dans le nouveau panorama avec ses nouvelles licences mobile. Que ça déplaise à coin-coin, j'en ai rien à cirer, la réalité du paysage n'en est pas modifiée par ses ressentis; alors s'il n'est pas possible de s'exprimer librement parce que l'idiot du village a fait des mauvais choix, je n'ai plus rien à dire et le maquis se passera de moi. Je n'ai pas encore pris la décision mais j'y pense sérieusement. toi et Sylvie me manquerez sans doute mais face à des agressions par un minable, je ne laisserai pas emmerder (enfienter).
Sur le sujet de la surproduction mon message cet après-midi ne semble pas être passé (écrasé?), je n'ai pas le courage de le reécrire, il se rapprochait du dernier message de Sylvie et évoquait la théorie de Milton Friedman et ses conséquences.
Je ne dis donc pas adieu aujourd'hui.
Foulques
Sur le sujet de la surproduction mon message cet après-midi ne semble pas être passé (écrasé?), je n'ai pas le courage de le reécrire, il se rapprochait du dernier message de Sylvie et évoquait la théorie de Milton Friedman et ses conséquences.
Je ne dis donc pas adieu aujourd'hui.
Foulques
Mes propos ne concernent pas tes contributions que j'aprécie, tu le sais très bien. Je souhaite juste que vous cessiez, tous les deux, de vous adresser la parole. Justement pour que nos échanges puissent continuer. Quand tu annonces que tu va utiliser ton temps précieux à démontrer la vanité des propos de ton interlocuteur, il me semble que toi et nous, nous avons mieux à faire. Même si nous n'étions pas capables de nous faire un avis, je ne pense pas que tu nous aiderasi à le faire.
Perso, j'ai besoin de ton point de vue, pas de ce genre de contribution. A condition qu'il n'y ait pas d'attaques de l'autre côté bien sûr. D'où ma demande aux deux. Est-ce trop demander ?
Amicalement
Franz
Perso, j'ai besoin de ton point de vue, pas de ce genre de contribution. A condition qu'il n'y ait pas d'attaques de l'autre côté bien sûr. D'où ma demande aux deux. Est-ce trop demander ?
Amicalement
Franz
Pas d'accord avec quoi, Franz? si tu penses toi aussi que mes contributions sur l'internet justifient les agressions du canard, je disparais du cybermaquis qui n'est pas ma vie. Il vous restera les (non)contributions de ce pauvre type qui ne m'intéresse pas du tout. Il a dépassé les bornes de ce que j'estime acceptable tout en n'apportant strictement rien. Si tout le monde l'accepte moi non, qu'il abandonne ses aNNeries! Je me demande sur quels critères, il a été accepté ici, surement pas sur la profondeur de sa réflexion. Si le cybermaquis, c'est ça, je n'y resterai pas.
Foulques
Foulques
Pas d'acord avec ta réponse, Foulques. Il est évident qu'une forte animosité est apparue entre toi et le canard. Elle ne peut qu'empoisonner le forum. Plutôt que de vous coller aux basques, il me paraît nécessaire, vital que vous cessiez de vous adresser la parole pour un moment. Que chacun zape la production de l'autre en espérant que cela finisse par se tasser. Sinon vous ne pouvez que générer un enfer qui n'a aucune nécessité pour les idées que nous souhaitons échanger.
Est-il possible d'en rester là sur cette affaire ?
Amicalement
Franz
Est-il possible d'en rester là sur cette affaire ?
Amicalement
Franz
@ Canard
Monsieur, vous êtes maintenant classifié pour moi dans les débiles mentaux et vos protestations véhémentes ne pourront rien y changer. La vacuité de vos propos ne m'avait pas échappé et je ne manquerai de la rappeler systématiquement, que dire de vos <<anneries>> si ce n'est que vous méritez le pompon, le bonnet serait d'ailleurs plus approprié. Par vos non-contributions idiotes et inutilement agressives à mon encontre, vous vous êtes fait un adversaire qui ne manquera pas de souligner vos inepties. Pour votre petite dernière (inepsie), rien en effet ne vous empêche de constituer un réseau Wi-Fi avec vos voisins qui pourrait communiquer avec d'autres réseaux locaux WiFi via internet grâce à la connexion payante que vous leur offrirez gratuitement, je n'en doute pas. Got it? C'est d'une connerie...et offert par "gros canard" alias "gras c...".
Si t'as rien à apporter ici, à part ton acrimonie, qu'y cherches-tu? telle est mon questionnement. Ce n'est tout de même pas un défaut d'être ingénieur Telecom! C'est quoi ton problème?
Foulques Deletang
Monsieur, vous êtes maintenant classifié pour moi dans les débiles mentaux et vos protestations véhémentes ne pourront rien y changer. La vacuité de vos propos ne m'avait pas échappé et je ne manquerai de la rappeler systématiquement, que dire de vos <<anneries>> si ce n'est que vous méritez le pompon, le bonnet serait d'ailleurs plus approprié. Par vos non-contributions idiotes et inutilement agressives à mon encontre, vous vous êtes fait un adversaire qui ne manquera pas de souligner vos inepties. Pour votre petite dernière (inepsie), rien en effet ne vous empêche de constituer un réseau Wi-Fi avec vos voisins qui pourrait communiquer avec d'autres réseaux locaux WiFi via internet grâce à la connexion payante que vous leur offrirez gratuitement, je n'en doute pas. Got it? C'est d'une connerie...et offert par "gros canard" alias "gras c...".
Si t'as rien à apporter ici, à part ton acrimonie, qu'y cherches-tu? telle est mon questionnement. Ce n'est tout de même pas un défaut d'être ingénieur Telecom! C'est quoi ton problème?
Foulques Deletang
Je ne suis pas certain que ces propos quelques peu injurieux soient admissibles sur ce forum. Mais bon.Foulques Deletang a écrit:Suite à la réaction de Donald 11 à propos d'internet, digne d'un mongolien, je n'ai pas jugé utille de continuer à informer sur le sujet; vous avez donc loupé la dernière mouture législative sur le sujet. Vous pourrez cependant rassurer ce cané , s'il a dessaoulé, que j'ai bien été reçu au concours d'entrée à France Telecom mais que je n'y ai pas donné suite.
Mon cher cousin, a mongolien, mongolien et demi. Si mes reponses a tes allegations sans preuve t'ont destabilise au point de m'injurier bassement, c'est qu'elles (mes reponses) n'etaient pas aussi stupides que tu veux le faire croire. Je ne t'y repondrai meme pas.
Rien que ca est une annerie, Monsieur l'Ingenieur des Telecoms, puisque nimporte qui peut se constituer un reseau WiFi chez lui et y raccorder tout ce qu'il a envie d'y raccorder de compatible, a l'instar d'un bon vieux reseau filaire avec des HUB. La difficulte est au dela du WiFi, quand il s'agit de se connecter ailleurs, via un routeur et ... un fournisseur d'acces pour internet.Sur un plan technique, j'émets de sérieux doutes quant à constituer un réseau WiFi offert par les FAI
Dans les configurations "grand public", le FAI offre l'acces a internet et le routeur (la box) et une solution WiFi pour le reseau interne du client final que rien n'empeche de partager avec tous ses voisins ... Et rien n'empeche de choisir son FAI.
Bonne nuit, Monsieur l'Ingenieur des Telecoms ...
En fait, ton parcours professionnel m'est totalement indifferent, et n'a aucune valeur ajoutee pour ce forum.
country skinner a écrit:. Es-tu bien sur de cela ? Sans être technicien de la chose, il me semble que l'article précise qu'il s'agit de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante et non comme tu le présentes comme un réseau passant par les FAI via le wifi. Est-ce techniquement impossible de créer un réseau autonome (hors FAI) fonctionnant sur les fréquences wifi ? Ou peut être que c'est moi qui ai mal lu l'article ? Ou alors est-ce là encore un effet du caractère "sommaire et approximatif" revendiqué de la réflexion foulquienne ?Sur un plan technique, j'émets de sérieux doutes quant à constituer un réseau WiFi offert par les FAI sans que ceux-ci ne puissent maîtriser les contenus qui y transitent. Le couple émetteur-récepteur WiFi ne constitue en effet qu'un interface au réseau internet qu'il me parait difficile de contourner sans la collaboration active ou passive de ces équipementiers
Je me suis en effet posé la même question que toi. Il est effet possible de construire un nouveau réseau utilisant les fréquences du WiFi et indépendant des réseaux actuels constitués des Box et Ordis dialoguant sur le WiFi mais constituer un tel réseau coûterait cher, ce qui suppose un business model à inventer. J'ai donc pensé que l'idée de base consistait à réutiliser le réseau existant et de le détourner de sa vocation initiale comme l'a fait Free avec son réseau sans fil s'appuyant sur des clients passifs dont il utilise le WiFi (à leur détriment). Je ne vois à l'heure actuelle pas d'autre explication plausible à plus ample informé. Je rappelle que je suis techniquement compétent contrairement à coin-coin. Si tu as d'autres infos complémentaires, nous pourrons cerner plus précisément ce projet; à l'heure actuelle, je ne vois rien d'autre de possible que ce que j'ai exposé.
Foulques
. Es-tu bien sur de cela ? Sans être technicien de la chose, il me semble que l'article précise qu'il s'agit de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante et non comme tu le présentes comme un réseau passant par les FAI via le wifi. Est-ce techniquement impossible de créer un réseau autonome (hors FAI) fonctionnant sur les fréquences wifi ? Ou peut être que c'est moi qui ai mal lu l'article ? Ou alors est-ce là encore un effet du caractère "sommaire et approximatif" revendiqué de la réflexion foulquienne ?Sur un plan technique, j'émets de sérieux doutes quant à constituer un réseau WiFi offert par les FAI sans que ceux-ci ne puissent maîtriser les contenus qui y transitent. Le couple émetteur-récepteur WiFi ne constitue en effet qu'un interface au réseau internet qu'il me parait difficile de contourner sans la collaboration active ou passive de ces équipementiers
Suite à la réaction de Donald 11 à propos d'internet, digne d'un mongolien, je n'ai pas jugé utille de continuer à informer sur le sujet; vous avez donc loupé la dernière mouture législative sur le sujet. Vous pourrez cependant rassurer ce cané , s'il a dessaoulé, que j'ai bien été reçu au concours d'entrée à France Telecom mais que je n'y ai pas donné suite.
Sur un plan technique, j'émets de sérieux doutes quant à constituer un réseau WiFi offert par les FAI sans que ceux-ci ne puissent maîtriser les contenus qui y transitent. Le couple émetteur-récepteur WiFi ne constitue en effet qu'un interface au réseau internet qu'il me parait difficile de contourner sans la collaboration active ou passive de ces équipementiers. Une autre réserve concerne la cryptologie voir wiki, chacun sait qu'elle évolue rapidement et la dernière expérience du genre sur une transmission quantique basée sur l'intrication (inviolable) a été piratée par un biais. D'autre part, la portée des émetteurs actuels est très courte et le réseau n'est finement maillé que par l'internet, autant dire principalement dans les pays fortement équipés et en zone urbaine. Je souhaite à Commotion bonne chance malgré tout quoiqu'en pense la bestiole à la démarche de guingois qui respire l'acrimonie permanente à laquelle ne manque que le goudron. Face à un tel idiot, le retour de Franz est un ballon d'air frais! salut Franz!
Foulques
Sur un plan technique, j'émets de sérieux doutes quant à constituer un réseau WiFi offert par les FAI sans que ceux-ci ne puissent maîtriser les contenus qui y transitent. Le couple émetteur-récepteur WiFi ne constitue en effet qu'un interface au réseau internet qu'il me parait difficile de contourner sans la collaboration active ou passive de ces équipementiers. Une autre réserve concerne la cryptologie voir wiki, chacun sait qu'elle évolue rapidement et la dernière expérience du genre sur une transmission quantique basée sur l'intrication (inviolable) a été piratée par un biais. D'autre part, la portée des émetteurs actuels est très courte et le réseau n'est finement maillé que par l'internet, autant dire principalement dans les pays fortement équipés et en zone urbaine. Je souhaite à Commotion bonne chance malgré tout quoiqu'en pense la bestiole à la démarche de guingois qui respire l'acrimonie permanente à laquelle ne manque que le goudron. Face à un tel idiot, le retour de Franz est un ballon d'air frais! salut Franz!
Foulques
Bein moa j'ai toujours pas de i-phone euuuuuuh! A suivre...
Salutations!
Salutations!
article très intéressant... comme seront intéressantes à suivre les applications de ce projet, car j'ai du mal à croire que les états et le lobby des grandes entreprises de communication vont se laisser ainsi dépouiller de leur monopole.
Ce qui m'a semblé le plus novateur est le cryptage de toutes les communications qu'assurera automatiquement ce logiciel.
Dans ce type recherche, "commotion" n'est pas vraiment novateur, voir par exemple : http://freedomboxfoundation.org/
Ce qui m'a semblé le plus novateur est le cryptage de toutes les communications qu'assurera automatiquement ce logiciel.
Dans ce type recherche, "commotion" n'est pas vraiment novateur, voir par exemple : http://freedomboxfoundation.org/
Oui, j'ai lu cet article sur le Monde.fr (et sur mon Iphone, na na nère). A suivre de près l'évolution de cet outil. Qui passe quand même le plus souvent par Internet, même si c'est avec un nombre réduit d'entrées. Ce qui me surprend, c'est qu'il ait le soutien des autorités Américaines et de Google. Pour mieux le contrôler ?
Amicalement
Franz
Amicalement
Franz
Commotion, le projet d'un Internet hors de tout contrôle
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Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.Conspiritech / Wikimedia commons
Un immeuble confortable et anonyme, au cœur de Washington, à quelques rues de la Maison Blanche. Dans une enfilade de bureaux au fond du 5e étage, une vingtaine de jeunes gens, surtout des garçons, travaillent discrètement, dans une ambiance à la fois studieuse et décontractée. Cette petite équipe, composée d'informaticiens, de juristes et de sociologues, est en train de réaliser l'utopie suprême des hackers et des militants libertaires du monde entier : un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté.
Ce projet ambitieux – nom de code Commotion– est dirigé par Sascha Meinrath, 37 ans, militant de longue date de l'Internet libre et précurseur des réseaux citoyens – au sein du collectif de journalistes en ligne Indymedia, puis à l'université d'Urbana-Champaign (Illinois), un des berceaux du logiciel libre, et dans diverses start-up et ONG d'action sociale : "J'ai bricolé mon premier réseau autonome il y a dix ans. Les antennes étaient faites avec des boîtes de conserves." Depuis ces temps héroïques, Sascha Meinrath a fait du chemin. Dans sa version actuelle, Commotion est un projet très officiel. Il est hébergé et financé par l'Open Technology Initiative (OTI), département high-tech de la New America Foundation, organisme prestigieux consacré à l'étude des grands problèmes de la société américaine, et présidé par Eric Schmidt, l'un des patrons de Google.
Grâce à cette tutelle, Sascha Meinrath dispose d'un budget annuel de 2,3 millions de dollars (1,6 million d'euros), auxquels est venue s'ajouter une subvention exceptionnelle de 2 millions, octroyée par le département d'Etat. En effet, les diplomates américains s'intéressent de près à la technologie des réseaux sans fil autonomes, légers et faciles à installer. Ils espèrent les déployer bientôt sur le terrain dans diverses situations d'urgence : dans des zones dévastées par une guerre ou une catastrophe naturelle ; dans les régions les plus déshéritées de la planète, où les populations sont privées de moyens de communication modernes ; et, enfin, comme "outil de contournement" dans des pays dictatoriaux, pour aider les dissidents politiques à communiquer entre eux et avec le reste du monde, en déjouant la surveillance policière et la censure. "Fin 2010, se souvient Sascha Meinrath, j'ai appris un peu par hasard que le département d'Etat avait décidé d'aider ce type de recherches. Nous avons déposé un dossier, en concurrence avec d'autres organisations, et nous avons été choisis. Les autres projets s'appuyaient en partie sur les infrastructures existantes, alors que Commotion les court-circuite entièrement."
"LE SEUL OUTIL À APPORTER SUR LE TERRAIN, C'EST UNE CLÉ USB"
La subvention fédérale n'a pas suffi à transformer l'équipe de Commotion en fonctionnaires. Josh King, 28 ans, le responsable technique, a gardé son look très rebelle – vêtu de noir de la tête aux pieds, avec chaîne, piercing et cheveux en bataille... Son bureau est encombré d'appareils de toutes sortes, sur lesquels il fait des tests approfondis, car Commotion doit pouvoir fonctionner avec un assemblage hétéroclite. Ses logiciels transforment un routeur Wi-Fi ordinaire, un simple PC ou un smartphone en relais intelligents, capables de connaître en temps réel la configuration du réseau, et de trier les données pour les envoyer vers leurs destinataires, ou vers un autre relais, plus proche du but. Par ailleurs, Commotion peut être facilement raccordé au reste du monde : il suffit qu'un seul des appareils soit connecté à Internet pour que tous les autres profitent de l'accès. "En fait, résume Josh King, le seul outil indispensable à apporter sur le terrain, c'est une clé USB contenant les logiciels, qui doivent être installés sur chacun des appareils appelés à faire partie du réseau." Depuis le printemps 2011, OTI propose des éléments de Commotion en téléchargement libre sur Internet. Une version de travail complète sera disponible en septembre, afin que des experts de tous les pays puissent l'étudier et faire des suggestions. Sascha Meinrath ne sait pas exactement qui télécharge quoi, car il ne garde aucune trace des internautes venant sur le site : "Si nous conservions une liste de nos visiteurs, nos serveurs pourraient être piratés par différents gouvernements – y compris le nôtre."
Récemment, OTI a reçu des messages de militants du "printemps arabe", vivant en Egypte, en Syrie, en Libye, à Bahreïn et au Yémen : "Ils veulent se procurer Commotion, mais nous essayons de les dissuader. C'est trop tôt, il n'est pas sécurisé, ce serait risqué de s'en servir contre un régime répressif. Cela dit, si ça se trouve, des groupes clandestins utilisent déjà des versions provisoires, sans nous le dire. Certains interlocuteurs sont peut-être des agents au service des dictatures, mais peu importe, nous montrons la même chose à tout le monde."
Sascha Meinrath se donne jusqu'à fin 2012 pour produire une version utilisable par le grand public. Pour aller plus vite, OTI s'approprie des systèmes mis au point par d'autres équipes. Pour la sécurisation, Commotion va intégrer les programmes du projet TOR (The Onion Router), inventé par une bande d'hackers allemands et américains pour circuler sur Internet en évitant d'être repéré. TOR a notamment été utilisé pour protéger les communications du site WikiLeaks –qui a divulgué en 2010 des masses de documents secrets appartenant au gouvernement des Etats-Unis. L'un des créateurs de TOR, l'Américain Jacob Appelbaum, fut un temps très proche de l'équipe de WikiLeaks. A deux reprises, en 2010, il a été arrêté par la police américaine, qui l'a interrogé sur ses activités au sein de WikiLeaks et a saisi ses téléphones et ses ordinateurs. Or, Jacob Appelbaum est aussi un ami personnel de Sascha Meinrath, qui fait appel à lui comme conseiller pour la mise au point de Commotion.
Pour expliquer cette situation paradoxale, Sascha Meinrath évoque la "schizophrénie" du gouvernement fédéral : "Parmi les responsables de Washington, il y a encore des gens formés pendant la guerre froide, qui rêvent de tout bloquer et de tout surveiller, mais il y a aussi des jeunes arrivés avec Obama, qui sont partisans de la transparence et de la liberté d'expression. En privé, de nombreux fonctionnaires du département d'Etat étaient en colère de voir leur hiérarchie critiquer WikiLeaks aussi violemment. Selon eux, l'affaire aurait pu être l'occasion de montrer au monde que les Etats-Unis savent défendre la liberté d'expression et la transparence, en toutes circonstances."
A présent, Jacob Appelbaum participe à un vaste projet baptisé Freedom Box – un ordinateur basique et bon marché transformé en serveur crypté et sécurisé pour le grand public. Sascha Meinrath envisage d'intégrer Freedom Box au réseau Commotion, notamment pour bénéficier d'une fonction dite de "connexion différée" : "Par exemple, lors d'une manifestation réprimée par la police, un manifestant prend une photo avec un smartphone connecté à Commotion. Internet a été coupé ce jour-là dans le quartier par les autorités, la photo ne peut pas sortir du pays, mais grâce à Commotion, elle est stockée à l'abri, sur une freedoom box locale. Puis, dès qu'Internet est rétabli, la box envoie automatiquement la photo dans le monde entier."
LES ENTREPRISES DE TÉLÉCOMS, ENNEMIS POTENTIELS
OTI songe à intégrer d'autres appareils expérimentaux, qui permettront aux utilisateurs de partager des masses de fichiers lourds, de faire transiter sur Commotion des appels téléphoniques passés avec des mobiles ordinaires, de transmettre des données dans toutes les gammes de fréquences, et même d'interconnecter plusieurs réseaux voisins : "En juillet, raconte Sascha Meinrath, une équipe d'hackers en camionnette a monté un réseau éphémère, couvrant une zone de 60 km sur 30, à cheval sur l'Autriche, la Croatie et la Slovénie. C'est la preuve qu'on peut fournir une connexion Internet à toute une zone frontalière, sans être physiquement présent dans le pays." Commotion n'est pas prêt pour un déploiement dans les zones à risque, mais il peut déjà être testé aux Etats-Unis – par exemple, dans les quartiers pauvres des grandes villes, dont les habitants ne peuvent pas se payer d'abonnement Internet classique. A Washington, à Detroit, et dans une réserve indienne californienne, l'OTI est entré en contact avec des associations de quartiers et des groupes militants qui avaient entrepris de créer des réseaux sans fil sauvages, pour offrir aux habitants des accès Internet gratuits. Grâce à son expertise et à son carnet d'adresses, l'équipe d'OTI a fourni à ces amateurs une aide technique et financière décisive.
Cette fois, les ennemis potentiels sont les entreprises de télécoms, qui pourraient faire pression sur les autorités, pour qu'elles tuent ces initiatives citoyennes à coups de lois et de restrictions bureaucratiques. Sascha Meinrath est conscient de la menace : "Notre technologie va bousculer pas mal de choses, y compris aux Etats-Unis. Si les gens se mettent à construire leurs propres réseaux, le business model des groupes de télécoms va s'effondrer. Il faut s'attendre à ce qu'ils contre-attaquent brutalement." Commotion devra aussi affronter l'hostilité des majors d'Hollywood, car il peut faciliter le piratage des œuvres sous copyright. Sascha Meinrath est à la fois fataliste et optimiste : "Que ce soit aux Etats-Unis, au Moyen-Orient ou ailleurs, qui va mettre en place ces réseaux alternatifs ? Pas des vieux, on le sait. Ce sont les ados qui vont s'en emparer. Ils s'en serviront pour contester l'ordre établi et aussi pour partager leur musique et leurs films. Ce sera peut-être négatif pour les détenteurs de droits, mais le bilan global sera très positif."
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Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.Conspiritech / Wikimedia commons
Un immeuble confortable et anonyme, au cœur de Washington, à quelques rues de la Maison Blanche. Dans une enfilade de bureaux au fond du 5e étage, une vingtaine de jeunes gens, surtout des garçons, travaillent discrètement, dans une ambiance à la fois studieuse et décontractée. Cette petite équipe, composée d'informaticiens, de juristes et de sociologues, est en train de réaliser l'utopie suprême des hackers et des militants libertaires du monde entier : un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté.
Ce projet ambitieux – nom de code Commotion– est dirigé par Sascha Meinrath, 37 ans, militant de longue date de l'Internet libre et précurseur des réseaux citoyens – au sein du collectif de journalistes en ligne Indymedia, puis à l'université d'Urbana-Champaign (Illinois), un des berceaux du logiciel libre, et dans diverses start-up et ONG d'action sociale : "J'ai bricolé mon premier réseau autonome il y a dix ans. Les antennes étaient faites avec des boîtes de conserves." Depuis ces temps héroïques, Sascha Meinrath a fait du chemin. Dans sa version actuelle, Commotion est un projet très officiel. Il est hébergé et financé par l'Open Technology Initiative (OTI), département high-tech de la New America Foundation, organisme prestigieux consacré à l'étude des grands problèmes de la société américaine, et présidé par Eric Schmidt, l'un des patrons de Google.
Grâce à cette tutelle, Sascha Meinrath dispose d'un budget annuel de 2,3 millions de dollars (1,6 million d'euros), auxquels est venue s'ajouter une subvention exceptionnelle de 2 millions, octroyée par le département d'Etat. En effet, les diplomates américains s'intéressent de près à la technologie des réseaux sans fil autonomes, légers et faciles à installer. Ils espèrent les déployer bientôt sur le terrain dans diverses situations d'urgence : dans des zones dévastées par une guerre ou une catastrophe naturelle ; dans les régions les plus déshéritées de la planète, où les populations sont privées de moyens de communication modernes ; et, enfin, comme "outil de contournement" dans des pays dictatoriaux, pour aider les dissidents politiques à communiquer entre eux et avec le reste du monde, en déjouant la surveillance policière et la censure. "Fin 2010, se souvient Sascha Meinrath, j'ai appris un peu par hasard que le département d'Etat avait décidé d'aider ce type de recherches. Nous avons déposé un dossier, en concurrence avec d'autres organisations, et nous avons été choisis. Les autres projets s'appuyaient en partie sur les infrastructures existantes, alors que Commotion les court-circuite entièrement."
"LE SEUL OUTIL À APPORTER SUR LE TERRAIN, C'EST UNE CLÉ USB"
La subvention fédérale n'a pas suffi à transformer l'équipe de Commotion en fonctionnaires. Josh King, 28 ans, le responsable technique, a gardé son look très rebelle – vêtu de noir de la tête aux pieds, avec chaîne, piercing et cheveux en bataille... Son bureau est encombré d'appareils de toutes sortes, sur lesquels il fait des tests approfondis, car Commotion doit pouvoir fonctionner avec un assemblage hétéroclite. Ses logiciels transforment un routeur Wi-Fi ordinaire, un simple PC ou un smartphone en relais intelligents, capables de connaître en temps réel la configuration du réseau, et de trier les données pour les envoyer vers leurs destinataires, ou vers un autre relais, plus proche du but. Par ailleurs, Commotion peut être facilement raccordé au reste du monde : il suffit qu'un seul des appareils soit connecté à Internet pour que tous les autres profitent de l'accès. "En fait, résume Josh King, le seul outil indispensable à apporter sur le terrain, c'est une clé USB contenant les logiciels, qui doivent être installés sur chacun des appareils appelés à faire partie du réseau." Depuis le printemps 2011, OTI propose des éléments de Commotion en téléchargement libre sur Internet. Une version de travail complète sera disponible en septembre, afin que des experts de tous les pays puissent l'étudier et faire des suggestions. Sascha Meinrath ne sait pas exactement qui télécharge quoi, car il ne garde aucune trace des internautes venant sur le site : "Si nous conservions une liste de nos visiteurs, nos serveurs pourraient être piratés par différents gouvernements – y compris le nôtre."
Récemment, OTI a reçu des messages de militants du "printemps arabe", vivant en Egypte, en Syrie, en Libye, à Bahreïn et au Yémen : "Ils veulent se procurer Commotion, mais nous essayons de les dissuader. C'est trop tôt, il n'est pas sécurisé, ce serait risqué de s'en servir contre un régime répressif. Cela dit, si ça se trouve, des groupes clandestins utilisent déjà des versions provisoires, sans nous le dire. Certains interlocuteurs sont peut-être des agents au service des dictatures, mais peu importe, nous montrons la même chose à tout le monde."
Sascha Meinrath se donne jusqu'à fin 2012 pour produire une version utilisable par le grand public. Pour aller plus vite, OTI s'approprie des systèmes mis au point par d'autres équipes. Pour la sécurisation, Commotion va intégrer les programmes du projet TOR (The Onion Router), inventé par une bande d'hackers allemands et américains pour circuler sur Internet en évitant d'être repéré. TOR a notamment été utilisé pour protéger les communications du site WikiLeaks –qui a divulgué en 2010 des masses de documents secrets appartenant au gouvernement des Etats-Unis. L'un des créateurs de TOR, l'Américain Jacob Appelbaum, fut un temps très proche de l'équipe de WikiLeaks. A deux reprises, en 2010, il a été arrêté par la police américaine, qui l'a interrogé sur ses activités au sein de WikiLeaks et a saisi ses téléphones et ses ordinateurs. Or, Jacob Appelbaum est aussi un ami personnel de Sascha Meinrath, qui fait appel à lui comme conseiller pour la mise au point de Commotion.
Pour expliquer cette situation paradoxale, Sascha Meinrath évoque la "schizophrénie" du gouvernement fédéral : "Parmi les responsables de Washington, il y a encore des gens formés pendant la guerre froide, qui rêvent de tout bloquer et de tout surveiller, mais il y a aussi des jeunes arrivés avec Obama, qui sont partisans de la transparence et de la liberté d'expression. En privé, de nombreux fonctionnaires du département d'Etat étaient en colère de voir leur hiérarchie critiquer WikiLeaks aussi violemment. Selon eux, l'affaire aurait pu être l'occasion de montrer au monde que les Etats-Unis savent défendre la liberté d'expression et la transparence, en toutes circonstances."
A présent, Jacob Appelbaum participe à un vaste projet baptisé Freedom Box – un ordinateur basique et bon marché transformé en serveur crypté et sécurisé pour le grand public. Sascha Meinrath envisage d'intégrer Freedom Box au réseau Commotion, notamment pour bénéficier d'une fonction dite de "connexion différée" : "Par exemple, lors d'une manifestation réprimée par la police, un manifestant prend une photo avec un smartphone connecté à Commotion. Internet a été coupé ce jour-là dans le quartier par les autorités, la photo ne peut pas sortir du pays, mais grâce à Commotion, elle est stockée à l'abri, sur une freedoom box locale. Puis, dès qu'Internet est rétabli, la box envoie automatiquement la photo dans le monde entier."
LES ENTREPRISES DE TÉLÉCOMS, ENNEMIS POTENTIELS
OTI songe à intégrer d'autres appareils expérimentaux, qui permettront aux utilisateurs de partager des masses de fichiers lourds, de faire transiter sur Commotion des appels téléphoniques passés avec des mobiles ordinaires, de transmettre des données dans toutes les gammes de fréquences, et même d'interconnecter plusieurs réseaux voisins : "En juillet, raconte Sascha Meinrath, une équipe d'hackers en camionnette a monté un réseau éphémère, couvrant une zone de 60 km sur 30, à cheval sur l'Autriche, la Croatie et la Slovénie. C'est la preuve qu'on peut fournir une connexion Internet à toute une zone frontalière, sans être physiquement présent dans le pays." Commotion n'est pas prêt pour un déploiement dans les zones à risque, mais il peut déjà être testé aux Etats-Unis – par exemple, dans les quartiers pauvres des grandes villes, dont les habitants ne peuvent pas se payer d'abonnement Internet classique. A Washington, à Detroit, et dans une réserve indienne californienne, l'OTI est entré en contact avec des associations de quartiers et des groupes militants qui avaient entrepris de créer des réseaux sans fil sauvages, pour offrir aux habitants des accès Internet gratuits. Grâce à son expertise et à son carnet d'adresses, l'équipe d'OTI a fourni à ces amateurs une aide technique et financière décisive.
Cette fois, les ennemis potentiels sont les entreprises de télécoms, qui pourraient faire pression sur les autorités, pour qu'elles tuent ces initiatives citoyennes à coups de lois et de restrictions bureaucratiques. Sascha Meinrath est conscient de la menace : "Notre technologie va bousculer pas mal de choses, y compris aux Etats-Unis. Si les gens se mettent à construire leurs propres réseaux, le business model des groupes de télécoms va s'effondrer. Il faut s'attendre à ce qu'ils contre-attaquent brutalement." Commotion devra aussi affronter l'hostilité des majors d'Hollywood, car il peut faciliter le piratage des œuvres sous copyright. Sascha Meinrath est à la fois fataliste et optimiste : "Que ce soit aux Etats-Unis, au Moyen-Orient ou ailleurs, qui va mettre en place ces réseaux alternatifs ? Pas des vieux, on le sait. Ce sont les ados qui vont s'en emparer. Ils s'en serviront pour contester l'ordre établi et aussi pour partager leur musique et leurs films. Ce sera peut-être négatif pour les détenteurs de droits, mais le bilan global sera très positif."
Je regrette parfois d'avoir neglige des etudes d'informatique plus completes. Si le monde est aujourd'hui aux mains des financiers, il pourrait basculer dans celles des hackers !!! Pas dit pour autant que l'humanite toute entiere y trouve son compte !
merci mister pour l'info... 35 anonymous viennent d'être arrêtés, 3 en Espagne, le reste en Turquie
Voici leur video de déclaration de guerre à la FED, postée le 11 juin
Voici leur video de déclaration de guerre à la FED, postée le 11 juin
Des cyber-militants ont lancé l'opération "Opération Empire State Rébellion". Ils exigent la démission de Ben Bernanke.
La vidéo des anonymous publiée sur You Tube.
Le groupe de cyber-militants des Anonymous menace, dans une vidéo mise en ligne samedi 11 juin, de s’attaquer à la Réserve fédérale américaine (Fed) si son président Ben Bernanke ne présente pas sa démission.
Dans une précédente vidéo, diffusée le 12 mars, les Anonymous demandaient déjà la démission du président de la Fed, accusée de détruire l’économie mondiale en favorisant les banquiers et les marchés financiers. La vidéo se terminait avec l’annonce du lancement d’une "Opération Empire State Rébellion" au cas où Ben Bernanke ne démissionnait pas.
"Crimes contre l'humanité"
Dans le communiqué mis en ligne samedi, les Anonymous donnent jusqu’au 14 juin au président de la Fed pour quitter son poste. Le groupe accuse la Fed de "crime contre l’humanité" en ayant "délibérément plongé dans la pauvreté des dizaines de millions de personnes". A partir du 14 juin date débute donc l’"Opération Empire State Rébellion" dont la "première étape" consiste en des "occupations de l’espace publique" non précisées. La description de la vidéo donne cependant plusieurs liens pour se ternir informé des actions en cours, comme une Google Map, une page Facebook ou encore un fil Twitter.
La vidéo ne détaille pas les étapes suivantes de l’opération, mais les Anonymous, groupe informel et sans véritable organisation structurée, sont connus pour leurs cyber-attaques de type "DoS".
Durant ces derniers mois, des cyber-militants se réclamant des Anonymous s’en sont ainsi déjà pris au site de la police nationale espagnole qui venait d’arrêter trois de ses membres présumés, à celui du gouvernement turc ou encore au groupe Sony. Les Anonymous ont également récemment menacé le FMI.
La vidéo des anonymous publiée sur You Tube.
Le groupe de cyber-militants des Anonymous menace, dans une vidéo mise en ligne samedi 11 juin, de s’attaquer à la Réserve fédérale américaine (Fed) si son président Ben Bernanke ne présente pas sa démission.
Dans une précédente vidéo, diffusée le 12 mars, les Anonymous demandaient déjà la démission du président de la Fed, accusée de détruire l’économie mondiale en favorisant les banquiers et les marchés financiers. La vidéo se terminait avec l’annonce du lancement d’une "Opération Empire State Rébellion" au cas où Ben Bernanke ne démissionnait pas.
"Crimes contre l'humanité"
Dans le communiqué mis en ligne samedi, les Anonymous donnent jusqu’au 14 juin au président de la Fed pour quitter son poste. Le groupe accuse la Fed de "crime contre l’humanité" en ayant "délibérément plongé dans la pauvreté des dizaines de millions de personnes". A partir du 14 juin date débute donc l’"Opération Empire State Rébellion" dont la "première étape" consiste en des "occupations de l’espace publique" non précisées. La description de la vidéo donne cependant plusieurs liens pour se ternir informé des actions en cours, comme une Google Map, une page Facebook ou encore un fil Twitter.
La vidéo ne détaille pas les étapes suivantes de l’opération, mais les Anonymous, groupe informel et sans véritable organisation structurée, sont connus pour leurs cyber-attaques de type "DoS".
Durant ces derniers mois, des cyber-militants se réclamant des Anonymous s’en sont ainsi déjà pris au site de la police nationale espagnole qui venait d’arrêter trois de ses membres présumés, à celui du gouvernement turc ou encore au groupe Sony. Les Anonymous ont également récemment menacé le FMI.
Je ne suis pas du tout énervé. Je suis plutôt consterné par les propos tenus par ce genre de personnages. J'l'avais un peu reniflé quand il a débarqué ici avec ses certitudes et ses grands airs ... mais bon, on peut toujours laisser une chance, une sorte de joker ... par bonté, ou par respect. Après les dérapages incon-trolls-laids se sont succédés à un rythme soutenu. Pô bien grave tout ça, sauf pour lui !Mister Cyril a écrit:T'énerve pas canard...c'est un cas d'école je te dis...comme quoi le pire se trouve parfois derrière des paillettes de bonne volonté (mais pas très longtemps...heureusement!)
Sur ce forum, il y a une charte que chacun a acceptée, des administrateurs et des modérateurs, et un vilain p'tit canard qui vient s'instruire et parfois commenter ... A vous de voir où il est bon de faire un peu de ménage. A mon avis, les vomis et insultes divers, ad hominem, sont totalement contre-productifs.Passons à autre chose...doit-on nettoyer le forum de certains vomis inutiles ou garder une trace de la paranoïa politico-virtuelle??????
T'énerve pas canard...c'est un cas d'école je te dis...comme quoi le pire se trouve parfois derrière des paillettes de bonne volonté (mais pas très longtemps...heureusement!)
Passons à autre chose...doit-on nettoyer le forum de certains vomis inutiles ou garder une trace de la paranoïa politico-virtuelle??????
Passons à autre chose...doit-on nettoyer le forum de certains vomis inutiles ou garder une trace de la paranoïa politico-virtuelle??????
T'as raison, man, toi t'es l'intégriste du jeunisme, d'internet et de l'entreprise ... Et tu assènes des vérités sans jamais les commenter, comme si ces vérités étaient paroles d'intégriste ... En effet, rien ne ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste.Jean-marc a écrit:Je répète, TA leçon et celle d'autres ici est simple :
Rien en ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste
Apprends!
Bye.
Et donneur de leçons en plus ... Qui es-tu donc, toi, pour te penser supérieur à tout le monde ? Même avec des curetons on peut engager un dialogue, je l'ai déjà fait, sauf avec des intégristes ... Toi, tu ne sais que vomir ta haine et tes certitudes. C'est vraiment dommage pour toi, pauvre petite poussière humaine sans consistance. D'ailleurs, qu'as-tu fais de concrèt dans ta petite vie, toi, ailleurs que planquer derrière ton écran ?
Dans le tas d'immondices que tu publies ici où là, on peut trouver parfois une idée cohérente ... Miracle !
Va t'aérer la tête, Patchouli de mes fesses, mauvais clone d'Elie Arié !!!
Je répète, TA leçon et celle d'autres ici est simple :
Rien en ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste
Apprends!
Bye.
Rien en ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste
Apprends!
Bye.
Oh non je vais pas la censurer ta "leçon bien méritée" moua moua c'est même un cas d'école... va prendre l'air mon vieux, tout va bien se passer...moua moua
J'ai même pas envie de te répondre...
Conclusion:
1-Tu te barres de toi même...
2-Je demande officiellement ton éjection éviction,...
et tu repars insulter le monde entier sur Marianne (ou ailleurs) et à te poilucher le poireau en pensant aux jeuns et au clavier!!!
Conclusion:
1-Tu te barres de toi même...
2-Je demande officiellement ton éjection éviction,...
et tu repars insulter le monde entier sur Marianne (ou ailleurs) et à te poilucher le poireau en pensant aux jeuns et au clavier!!!
Une chose est évidente...
Il n'y a que les abrutis (au sens littéral, comme on est abruti par les vapeurs d'alcool, abrutis d'idéologie, abrutis de simplismes, abrutis de je ne sais quoi, mais abrutis comme les alcoolisés)
pour n'aimer que l'entreprise ou détester tout ce qui vient de l'entreprise
pour n'aimer que le 'en ligne' ou déconsidérer tout ce qui est 'en ligne'
pour n'aimer que le fromage de chèvre roulé sous les aisselles parfumés au patchouli100% pur dans le larzac ou n'aimer que les hamburgers mac do.
Bref, je me suis fait comprendre.
L'abrutissement étant contagieux, ce maquis est un lieu dangereux pour les esprits non simplistes et non manichéens.
Dans le fond, ils n'y a pas de différence de nature entre ce maquis et un site ultralibneoconservateur ; c'est juste que la drogue idéologique et les bêlements semblent différents, mais qu'en apparence, car cela reste de la drogue idéologique et des bêlements.
Rien en ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste.
Ce post ne doit pas être censuré, c'est une leçon bien méritée!
Il n'y a que les abrutis (au sens littéral, comme on est abruti par les vapeurs d'alcool, abrutis d'idéologie, abrutis de simplismes, abrutis de je ne sais quoi, mais abrutis comme les alcoolisés)
pour n'aimer que l'entreprise ou détester tout ce qui vient de l'entreprise
pour n'aimer que le 'en ligne' ou déconsidérer tout ce qui est 'en ligne'
pour n'aimer que le fromage de chèvre roulé sous les aisselles parfumés au patchouli100% pur dans le larzac ou n'aimer que les hamburgers mac do.
Bref, je me suis fait comprendre.
L'abrutissement étant contagieux, ce maquis est un lieu dangereux pour les esprits non simplistes et non manichéens.
Dans le fond, ils n'y a pas de différence de nature entre ce maquis et un site ultralibneoconservateur ; c'est juste que la drogue idéologique et les bêlements semblent différents, mais qu'en apparence, car cela reste de la drogue idéologique et des bêlements.
Rien en ressemble tant à un intégriste qu'un autre intégriste.
Ce post ne doit pas être censuré, c'est une leçon bien méritée!
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